Non, c'était la marque de votre propension à vous tromper, qui rend peu crédibles les reproches que vous nous adressez aujourd'hui. Si nous n'avions pas pris des dispositions pour tenir compte des conditions dans lesquelles vous aviez élaboré le budget, le déficit aurait atteint en 2012 5,5 % au lieu de 4,8 %. Et, s'il s'est élevé à 4,8 % et non à 4,5 %, c'est notamment à cause de l'affaire Dexia et du budget européen, dont nous ne sommes pas responsables. Pourquoi les moyens alloués, en crédits de paiement, au budget européen ont-ils été rabotés à ce point ?