C'est cette vision traditionnelle, sacrée, sous-entendue, inhérente à vos propos qui vous interdit de comprendre et d'opérer les changements. Cette vision n'appartient ni à l'hémicycle ni à la République ; elle relève de la vie privée.
Nous vivons aujourd'hui un grand et un beau moment de l'histoire de notre société. Ce projet tend la main à celles et ceux qui, trop longtemps, ont vécu dans l'opprobre, le rejet, puis l'indifférence et qui, maintenant, doivent affronter votre refus. Ici, il résonne terriblement et tristement.
En réalité, vous n'aurez jamais le courage de défaire ce que nous faisons aujourd'hui.