Ce midi, j'ai entendu plusieurs déclarations venant des uns et des autres, appelant au calme et à l'apaisement dans ce débat. Bien sûr, toute l'opposition est de cet avis et pour l'apaisement, ce qui ne nous empêche pas d'argumenter avec détermination.
L'apaisement doit aussi venir du Gouvernement et de la majorité.
Quand il y a 700 000, 800 000, un million de personnes dans la rue et qu'on dit qu'il n'y en a que 150 000, c'est bien considéré comme une violence.