Cet article 1er bis B soulève une interrogation légitime pour l'ensemble des maires : quel besoin y a-t-il de publier des bans pour connaître les oppositions potentielles à la célébration d'un mariage si l'on peut se marier pratiquement partout en France ? Les maires s'interrogent sur cette situation, qui pose un véritable problème. Vous modifiez quelque chose de la notion d'opposition potentielle. Voilà la dérive que nous dénonçons par ces amendements.