Il n'a jamais été question pour le groupe socialiste de remettre en cause en quoi que ce soit les pouvoirs du président de la Commission des finances : nous voulons la transparence et la vérité.
Je veux simplement rappeler que, dans un État de droit, la charge de la preuve revient à l'accusation : ce n'est pas à l'accusé de faire la preuve de son innocence.