Monsieur Mandon, j'ai amélioré la jurisprudence de cette commission, car mon prédécesseur ne m'informait pas du tout de ses descentes à Bercy. Il m'a paru, quant à moi, de bon usage d'en informer le rapporteur général. Je le ferai systématiquement à l'avenir, car telle est ma conception de l'exercice des pouvoirs du président de la Commission des finances.