Monsieur le ministre, la convocation qui vous a été adressée fait-elle état de votre audition ou de celle du président de la Commission des finances ?
Êtes-vous gêné par l'attitude des commissaires socialistes qui, depuis le début de cette audition, vous empêchent de répondre aux questions ? S'agirait-il d'un rideau de fumée qu'ils ne procéderaient pas autrement.
Sauf erreur de ma part, la lettre adressée aux autorités helvétiques a été signée par le chef du service du contrôle fiscal. Quel a été le rôle du conseiller de votre cabinet chargé des fraudes, également chargé de cette question au cabinet de Jérôme Cahuzac ?