Le Président de la République et le Premier ministre n'ont pas été à l'instigation des démarches entreprises par l'administration fiscale.
Mesdames, messieurs les députés, j'ai répondu à toutes vos questions et je répondrai aux autres. Je ne veux pas répondre aux insinuations et ne suis pas là pour faire l'objet d'un acharnement supplémentaire. Je m'adresse donc à votre âme et conscience, si vous en avez : il n'y a pas d'« affaire administration fiscale » ; il n'y a pas d'« affaire Moscovici ». L'administration fiscale et le ministre ont fait ce qu'ils devaient faire. C'est ce que cette commission a permis de commencer à établir.