Je veux parler du droit de manifester, du droit de contester des choix politiques, du droit d'amender et, bien sûr, de la liberté de vote.
Mais il y a une chose qui n'est pas cautionnable, dans cet hémicycle et en dehors : c'est la remise en cause de la légitimité de nos institutions et la violence sur les personnes. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.) Ce pas a été franchi par certains à l'occasion de la discussion du texte sur le mariage pour tous que, de toute façon, nous voterons dans quelques instants.