Il faudra nous expliquer comment, à la fin de l'année 2012, vous avez pu afficher, avec tant de conviction, d'engagement et de démonstration, des chiffres si radicalement démentis quatre mois plus tard. Est-il bien sérieux que le ministre des finances de la France nous communique, à moins d'un semestre d'écart, des évaluations de finances publiques à ce point différentes de ce qu'il a fait voter en fin d'année dans la loi de programmation ?