L'écart par rapport à des prévisions comme celle du FMI n'était pas de 0,2 %, mais bien de 0,7 %. Par souci d'honnêteté, pour rester en phase avec la réalité, nous l'avons ramenée à 0,3 %. Finalement, la croissance a été de 0 %.
Pour l'année 2013, l'ampleur de la révision est encore plus nette. Ce programme de stabilité succède à un autre que la majorité précédente a présenté l'année dernière. J'entends bien ce que Gilles Carrez a indiqué tout à l'heure dans une sorte de réquisitoire enflammé et assez peu rigoureux… (Protestations sur les bancs du groupe UMP.)