Mais vous ne pouvez pas vous autoriser à travestir des chiffres qui sont désormais établis, et qui témoignent de la situation absolument calamiteuse que vous nous avez laissée. L'examen de la loi de finances pour 2014 sera une fois de plus l'occasion de rétablir la vérité, y compris sur la pression fiscale.
Ainsi, je tiens à vous indiquer, monsieur Carrez – ainsi qu'à Mme Pécresse, qui n'est plus là –, que pendant le dernier quinquennat, le montant des impôts prélevés sur les Français a été absolument considérable : 60 milliards d'euros ! Quand on a un tel bilan, on essaye, tant sur la forme que sur le fond, d'être un peu modéré ! (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)