…mais je vous ai entendu tout à l'heure faire de nouveaux amalgames – très calmement, je le reconnais, mais ils ne m'en ont pas moins choqué.
Vous avez dit : « Je ne veux pas inscrire mon nom dans le marbre des pierres tombales. » Étrange formule ! Auriez-vous été gagné par la grandiloquence ? Vous avez ensuite remis en cause le droit de disposer de son corps, qui avait été rappelé par plusieurs collègues du groupe SRC et dont tout le monde sait très bien qu'il est au fondement de la loi de 1974 sur l'interruption volontaire de grossesse. Vous n'avez pas tenu ces propos par hasard !
Ensuite, vous avez déclaré : « Je n'accepte pas les lois d'exception », et vous avez glissé dans votre propos l'idée que quelqu'un avait dit : « Je suis contre les changements de législation sur la fin de vie, car j'ai toujours été contre la peine de mort. »