Nous prendrons le temps d'agir, monsieur Chatel.
Mais avec cette proposition de loi, nous sommes exactement dans la situation inverse. À chaque cas individuel médiatisé – je pense au médecin de Bayonne –, le débat s'emballe un peu dans la société, mais vous répondez invariablement qu'il faut faire mieux connaître la loi de 2005.