La ministre de la santé du précédent gouvernement ne disait pas autre chose, comme vous du reste, monsieur Chatel, dans votre intervention au nom du groupe UMP.
Si, au bout de huit ans, une loi demeure méconnue ainsi que vous le prétendez, c'est qu'il y a un problème. En fait, ce n'est pas qu'elle soit méconnue : c'est qu'elle ne répond pas aux problèmes. En tout état de cause, on ne peut refermer le débat, décider de ne toucher à rien ou de ne faire évoluer la loi de 2005 qu'à la marge.
Notre responsabilité de parlementaires consiste à répondre aux nombreuses questions concernant la fin de vie.