Je vous remercie, monsieur le président, de votre intervention concernant l'utilisation du mot « cavalier ». Il est en effet inacceptable que l'on qualifie de cavaliers des amendements qui relèvent du travail législatif. De grâce un peu de respect pour le travail du Parlement ! On ne peut se contenter de botter en touche en disant : « C'est un cavalier » ! J'espère que cela ne se reproduira plus.