Ces deux amendements visent à élargir le champ de l'amnistie, le premier aux destructions de parcelles d'organismes génétiquement modifiés (OGM) – ce qui me semble d'autant plus nécessaire que la loi relative à la protection des lanceurs d'alerte trouve son origine dans l'action des « faucheurs volontaires », qui a permis d'attirer l'attention de nos concitoyens sur les dangers que les OGM peuvent représenter pour la santé publique –, le second au délit d'entrave à la liberté du travail, parfois utilisé pour engager des poursuites.