Selon nous, il convient, non de supprimer cet article – qui est, je le répète, le coeur de la proposition de loi –, mais de le réécrire pour bien faire comprendre que remplacer par d'autres termes le mot « race », qui n'a plus sa place au XXIe siècle, ne nuira pas, bien au contraire, à la lutte contre les actes et attitudes racistes.