Pour les modalités d'élection, la Délégation aux droits des femmes défendra le scrutin à deux tours.
S'agissant des personnalités qualifiées, on pourrait imaginer que chaque autorité en nomme deux – un homme et une femme – et que l'arbitrage soit ensuite assuré soit par le président, soit par le recteur, chancelier des universités – ce dernier présentant l'avantage de la neutralité.
Sur le problème des remplacements au fil du mandat, une piste serait de désigner la personne de même sexe qui suit dans la liste.
La Délégation souhaite la parité dans toutes les instances, y compris au sein des bureaux des conseils d'administration.
Enfin, pour les comités de sélection, je pense que l'on pourrait proposer une parité stricte.