Vous avez évoqué la question lancinante de la mémoire entre la France et l'Algérie, qui est effectivement un serpent de mer. Nous avons quand même, en France, un antécédent très fort avec l'Allemagne. La relation franco-allemande a pu s'établir grâce à un travail de mémoire conduit par des historiens, des acteurs de la paix, et qui a abouti au traité de l'Élysée. Existe-t-il aujourd'hui un groupe de travail qui oeuvre dans ce sens ?