Madame la ministre, j'étais inquiet. Je le suis moins maintenant, parce que je vous connais et que je sais que vous êtes de bonne foi. J'ai écouté votre discours : vous avez expliqué que beaucoup de choses avaient été faites pour les Français de l'étranger, mais seulement par la gauche. Je me suis dit qu'il manquait tout de même quelques éléments à votre propos… Mais heureusement, j'ai retrouvé une page qui a forcément dû s'échapper de votre discours et où figurent les cinq points qui vous auraient permis d'être complète et parfaitement objective.