Je suis bien sûr favorable à l'idée d'adopter la définition la plus récente possible ; à vrai dire, il faut surtout s'assurer d'une définition unique, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui. Sous la précédente législature, nos discussions ont souvent été obscurcies par cette absence de référence commune.
Vous avez raison, monsieur le président : les zones tendues ne sont pas forcément uniquement des zones urbaines denses ; certaines zones littorales ou de montagne, par exemple, le sont également. Bien sûr, ces définitions ne doivent pas non plus être immuables : la situation du logement peut changer.