Merci de cette réponse, madame la ministre. Je retiens l'expression de « choc de compétitivité par la transition énergétique » et je regrette que nous ayons bouclé hier le rapport du groupe de travail que je préside sur la compétitivité sans avoir pu l'y introduire ! (Sourires.) Nous l'évoquerons la semaine prochaine au conseil national…
Nous sommes dans la période des chocs ; que la transition énergétique soit considérée comme un élément de choc pour la compétitivité me convient parfaitement. Je retire les deux amendements, puisque le débat est ouvert sur le niveau d'objectif de la troisième période.