Vous souhaitez approfondir notre relation avec les États-Unis sur la question du libre-échange alors que 70 % des marchés publics américains nous sont actuellement fermés. Dans ce contexte, quelles concessions peut-on envisager de faire et quelles contreparties peut-on demander aux États-Unis, par exemple en matière de droit du travail ? Quelles sont les perspectives de souplesse dans cette négociation pour obtenir une ouverture des marchés publics américains ?
Vous avez évoqué la mise en place de développeurs à l'international issus d'Ubifrance, en particulier le soutien personnalisé à 1 000 entreprises, PME et ETI. Quel est l'apport de ces agents pour les ETI et en quoi est-ce différent de ce qui se faisait auparavant ? Vous avez constaté que l'Allemagne est plus active que nous dans son activité commerciale en faveur des ETI en Chine alors que les PME françaises du secteur agroalimentaire ont une carte à jouer : comment améliorer leur position, non seulement en Chine, mais également dans les autres pays émergents ?