Il y a eu, à l'initiative des maires de la bande de Gaza, juste avant la décolonisation de celle-ci, un congrès sur la gestion de l'eau, qui avait fait naître une espérance et l'acceptation de concessions pour qu'Israël n'ait pas la maîtrise totale des nappes phréatiques de la zone. J'avais alors noté la difficulté liée au contingentement des matériaux, qui empêchait de construire dans cette bande.
À vous entendre, la situation non seulement ne s'est pas améliorée, mais s'est peut-être dégradée. À partir de quel moment a-t-on enregistré un décrochage ?