Je voudrais rendre hommage, pour terminer, à ceux qui ont soutenu depuis le début le groupe d'Aix : le conseil régional Provence-Alpes-Côte d'Azur, le conseil général des Bouches-du-Rhône, le Quai d'Orsay, la Caisse des dépôts et Consignations, la Commission européenne, la Banque mondiale, et aussi la coopération allemande, qui a décidé dernièrement d'aider le Groupe de manière substantielle.
Nous avons maintenant une certaine audience auprès de l'Union européenne, notamment de la Commission, et nous avons été reçus à Londres, et très souvent à la Maison Blanche. Notre groupe est aujourd'hui reconnu comme un organisme relativement sérieux : s'il n'a pas recherché la publicité, il est temps qu'il fasse un peu plus parler de lui.
Ainsi, sur l'initiative arabe de paix, qui correspond à un document de seulement deux pages, nous avons rédigé une étude de 600 pages – que vous pouvez consulter sur notre site Internet – par le biais de quatre groupes de travail sur les institutions, le type de commerce et les déclinaisons possibles de cette initiative : elle mériterait d'être mieux connue.