Monsieur Bernard Debré, en matière de violences, de lutte contre la délinquance, de maintien de l'ordre, il n'y a pas de place pour le laxisme. Le rôle des forces de l'ordre, dans des situations parfois très difficiles, comme cela a été le cas par le passé en 2005 et en 2010, est d'agir pour permettre ensuite à la justice de punir.