La question a été débattue avec la direction du trésor lors du plan de relance. L'État voulant être payé avant les fournisseurs, ceux-ci exigeaient d'être payés par avance. De ce fait, avoir momentanément rétrogradé les créances de l'État derrière les créances « économiques » a permis de rétablir une certaine confiance et d'éviter une embolie.
La puissance publique n'est pas créancier prioritaire dans tous les pays. Souvent, la vie économique prime sur la dette à l'égard de l'État.