La saturation permanente des services d'urgences découle notamment de sollicitations non urgentes et de demandes de consultation de médecine générale que génèrent l'absence de disponibilité de lits d'aval de court ou de moyen séjour, la désertification médicale et la difficulté à fidéliser les médecins urgentistes. Comment pourrait-on améliorer l'organisation de ces services ? Quelles sont les actions à mettre en oeuvre en priorité ?
Ne conviendrait-il pas de développer la formation en management d'équipe, reçue par les directeurs d'établissement ?