Les investissements d'avenir doivent pour partie contribuer à la réduction des gaz à effet de serre. Mais, pour qu'il en soit ainsi, la France ne doit-elle pas en venir à un véritable « choc de simplification », et en finir avec l'hystérie normative qui ronge notre pays dans tous les domaines et qui pourrait freiner les investissements d'avenir dans le développement durable ?
J'insiste par ailleurs à mon tour pour que l'agriculture et le secteur agro-alimentaire ne soient pas écartés du bénéfice de ces mêmes investissements.