En Italie, par exemple, nous avons 14 milliards d'euros d'obligations de l'État et 15 milliards de prêts au secteur public local, qui est du reste en bonne santé : aucun débiteur n'est en retard, même s'il existe quelques litiges – que nous gagnons, pour la plupart – sur la validité des swaps adossés. Aux États-Unis et au Canada, les prêts hypothécaires sont sains. Nous avons en revanche une petite crainte s'agissant des prêts étudiants.