La Commission européenne a avalisé le plan avant que nous ne puissions y intégrer les effets de la taxe sur les transactions financières. Appliquée à l'année 2012, cette taxe nous aurait coûté 574 millions d'euros. Pour 2013, nous estimons le coût à environ 700 millions d'euros. Pour des raisons de risque, en effet, nous pratiquons activement le « repo » – c'est-à-dire la pension livrée –, souvent au jour le jour. La taxe étant appliquée à chaque mutation, les montants sont considérables et nous n'en avons pas prévu le refinancement dans nos plans.