Je voudrais d'abord rendre hommage à l'action de nos hommes sur le terrain : nous avons réussi au Mali ce que les Américains n'ont pas été capables de faire en Somalie.
Ma question porte sur nos capacités d'aérolargage. L'action du deuxième régiment étranger de parachutistes et du dix-septième régiment du génie parachutiste lors de l'opération Serval a montré toute l'utilité des moyens dont nous disposons dans ce domaine : quels enseignements en tirer, sachant que nous sommes désormais les seuls en Europe à maîtriser l'ensemble de ces savoir-faire ?