Le premier des trois enseignements stratégiques de l'opération Serval, selon vous, est que l'armée française était attendue par les forces africaines, qui se sont d'elles-mêmes placées sous son autorité. Quelles conclusions stratégiques en tirez-vous pour la présence française dans la région, lorsque nos soldats ne seront plus que 1 000 sur place ? Qu'en sera-t-il de la coopération militaire ?