Je me félicite de votre volonté de francophonie politique, plus particulièrement vis-à-vis des droits des femmes.
Il ressort des relations que chacun d'entre nous peut entretenir dans des pays francophones que nous avons engagé un mouvement de retrait progressif, notamment en Afrique, en remettant en question la présence d'établissements d'enseignement. Voilà qui est de nature à engager le devenir même de la francophonie.
S'agissant du projet de loi sur l'enseignement supérieur, Bernard Pivot s'inquiète dans la presse de voir le français devenir une langue morte. Partagez-vous cette inquiétude ?