Vous avez parlé de 100 000 professeurs en Afrique. En cette période de crise, comment est-ce possible ?
Plusieurs professeurs en Turquie m'ont alerté – vous aussi sans doute – sur les difficultés qu'ils rencontrent en termes de non-remplacements et de suppressions d'heures de cours. Comment évolue la situation de ces professeurs français, qui se lamentent de voir le français perdre de la place dans les lycées ?