Plutôt que de rechercher un choc de stabilité, qui interdira au législateur d'encadrer plus strictement le crédit à la consommation, il conviendrait de créer un choc de prévention et de protection avec l'instauration du registre national de crédit, afin de limiter les effets du surendettement.
Quelles sont les raisons qui conduisent certains des participants à cette table ronde à refuser cet outil ? Quels autres dispositifs proposent-ils ?