La baisse de la production de crédit depuis 2009 est inférieure en France de 25 % à la moyenne européenne sans qu'on puisse conclure à un effet de la loi Lagarde, dont l'application est trop récente. C'est pourquoi, évitons tout malentendu : le projet de loi conservera toutes les mesures bénéfiques de la loi 2010, se contentant de rajouter d'autres mesures, comme la création du fichier positif.