Vous avez raison dans l'absolu, mais, en tant qu'élu parisien, je peux témoigner qu'il est beaucoup plus facile de négocier avec les banques pour certaines collectivités importantes que pour celles qui disposent de moindres compétences techniques. Il convient donc de protéger les plus faibles d'entre elles. Si leurs responsables ont commis des erreurs, ils subiront la sanction du suffrage universel, mais il n'en reste pas moins que des communes, si vous me passez l'expression, ont été « empapaoutées » bien malgré elles.