C'est au délégataire, avec lequel on entretient une discussion permanente, de stimuler les bailleurs, pour qu'ils construisent là où l'on veut qu'ils construisent. On peut ne pas financer les projets jugés les moins intéressants au regard des objectifs, et c'est d'autant plus facile que nous disposons de moins d'argent qu'il ne nous en faudrait.