Il faut créer une dynamique positive entre les élus de terrain autour des intercommunalités et l'État qui doit donner les grandes orientations car, sans son impulsion, la prudence et l'attentisme risquent de prévaloir. En Ile-de-France où les besoins sont énormes, on ne construit que la moitié de ce qui serait nécessaire. Le bilan des attributions par les élus altoséquanais n'est pas mauvais du tout, et montre l'efficacité de la dialectique entre la gestion par les élus de terrain et un niveau stratégique d'orientation plus général qui éclaire l'avenir à moyen terme.