J'attire votre attention, madame la ministre, sur le fait que la rédaction de mon amendement ne mentionnait pas l'AFIJ, que je n'ai citée qu'à titre d'illustration – certes, la plus emblématique à mes yeux – de la question de l'insertion professionnelle. Si vous lisez attentivement mon amendement, vous verrez qu'il prévoit la présence d'un « représentant d'une structure d'aide à l'insertion professionnelle des jeunes issus de l'enseignement supérieur » : il pourrait aussi bien s'agir, par exemple, d'un représentant de l'APEC.
Mon amendement n'est donc pas du tout limité au monde associatif, et encore moins à une association en particulier. J'ai voulu saisir l'occasion de sa présentation pour tenter de vous sensibiliser, ainsi que notre assemblée, aux inquiétudes exprimées par l'ensemble des organisations étudiantes, que nous avons reçues : il nous a été dit, de manière unanime, que l'AFIJ était une structure permettant à l'ensemble des organisations étudiantes de travailler ensemble au profit de l'insertion des jeunes. Mais, je le répète, l'amendement n° 165 est beaucoup plus large et ne se focalise pas sur une structure de nature exclusivement associative.