Vous avez parlé du Sénat.
Je trouve cela très singulier de la part des mêmes qui manifestent une peur excessive de nous voir succomber à l'anglais, avec les valeurs qu'il comporte, dans l'ouverture, pourtant mesurée, faite sur les enseignements en langue étrangère.
On ne peut pas d'un côté dire que le fait d'ouvrir de manière modérée les langues étrangères, et notamment l'anglais, risquerait d'introduire des valeurs qui ne sont pas les nôtres, et de l'autre nous dire que nous devons copier des valeurs qui ne sont les nôtres dans le système universitaire lui-même, alors que notre tradition, habilement mêlée à des traditions nouvelles, est porteuse de spécificités qui sont tout à fait positives. J'ai envie de dire, monsieur Hetzel : cherchez l'erreur !