J'ai déjà dit que je comprenais l'émoi provoqué par cette affaire, au point que j'ai saisi le CSM sur un éventuel manquement à la déontologie.
Monsieur le député, vous me demandez de diligenter l'inspection judiciaire dans un local syndical – pourquoi pas un de ces jours dans celui de l'Association professionnelle des magistrats ! –, autrement dit, vous me demandez de ne pas reconnaître notre droit.
Je considère que cette action est inappropriée, même si elle constitue une riposte à des attitudes, à des propos, à des accusations portées par l'exécutif politique contre les magistrats et contre les personnels judiciaires.