Au-delà des chiffres, la plus belle réussite de cette politique est qu'elle s'est construite sur la confiance donnée aux acteurs, y compris ceux qui étaient d'abord réticents ou opposés à la réforme.
Qui aurait pu croire, à l'été 2007, que toutes les universités françaises seraient passées à l'autonomie au 1er janvier 2012 ?
Bien sûr, tout n'est pas parfait.