Nous avons découvert, le samedi, que vingt-cinq amendements portant sur les stages avaient été déposés. Donc, nous avons, là aussi, réagi de façon interactive. Il arrive effectivement que des sujets soient abordés, en l'occurrence par les parlementaires eux-mêmes, dans des délais que nous ne maîtrisons pas forcément. Nous nous sommes donc adaptés, tout comme je me suis adaptée aux horaires qui m'ont été proposés. Contrairement à ce que vous avez soutenu tout à l'heure, les horaires des réunions de votre commission n'ont pas été adaptés à mon agenda ! Si je suis restée jusqu'à cinq heures du matin avec vous, c'est, d'une part, parce que nos débats étaient agréables, intéressants, de qualité, très bien présidés et fort bien animés par le rapporteur et, d'autre part, parce que c'est l'horaire que vous aviez fixé.
S'agissant du sujet qui nous intéresse, j'ai répondu aux demandes formulées dans les amendements déposés par les parlementaires. Un dialogue bien compris, c'est aussi une certaine faculté d'adaptation et de souplesse – je n'ose pas parler de « flexibilité », car j'ai peur d'engager un débat qui dépasserait le champ de nos compétences !