Ce débat a déjà eu lieu en séance publique et l'Assemblée a tranché ; nous verrons ce qu'il en sera cette fois, et si nous devons être départagés par le Conseil constitutionnel, nous le serons. Je signale incidemment que personne n'a jamais remplacé les 800 millions d'euros que vous avez évoqués. Aucun de ceux qui, à l'époque, ont bénéficié de cette situation n'ont rien trouvé à y redire ; c'est parmi eux que certains hurlent, maintenant, qu'on les matraque…