Vous avez, monsieur le ministre, qualifié de « précipité » le retour de la France au sein du commandement intégré de l'OTAN. Or de discussions que certains membres de la Commission et moi-même avons pu avoir avec des responsables américains et des collègues de l'assemblée parlementaire de l'OTAN, il ressort que ce retour a eu des retombées positives pour l'image de notre armée et de notre pays, notamment avec la prise de commandement du général Abrial à Norfolk.
Comment l'évaluation de ce retour sera-t-elle conduite ?