Nos points de vue sont complémentaires, plus qu'opposés, s'agissant de la proposition déposée par M. François Brottes et ses collègues. Nous sommes d'accord sur les éléments essentiels de ce texte . Je considère que des travaux doivent être poursuivis sur l'utilisation des protéines animales. Nous devons regarder également l'avenir et poser des principes stables.
S'agissant du moratoire, je refuse de voter un amendement qui repose sur une solution qui est juridiquement inenvisageable aujourd'hui. Je suis convaincue que les études complémentaires que je vous propose nous permettent d'aller le plus loin possible, sans franchir la frontière de ce qui est juridiquement impossible et sans risquer de contentieux.