En effet, 20 % des personnes bénéficiant de l'aide alimentaire sont d'origine étrangère. La mise en place d'un dispositif spécifique pour ces personnes ne serait pas une bonne idée puisque celles-ci vivent essentiellement dans les grandes villes où se trouvent pour l'essentiel les centres de distribution d'aide alimentaire.
En revanche, nous devons améliorer la formation des bénévoles qui interviennent auprès de ce public, en leur permettant de surmonter la barrière de la langue et de proposer un accueil qualitatif qui ne se limite pas à la seule distribution d'aide alimentaire.